En ContinuMonde

Gabon: Ali Bongo gravement malade?

Invité fin octobre dernier au forum économique Future Investment Initiative (FII) à Riyad, en Arabie Saoudite, le président gabonais Ali Bongo Ondimba avait finalement été admis dans un hôpital de la capitale saoudienne après un « malaise ».

Depuis, les spéculations et rumeurs sur son état de santé vont bon train. La télévision privée camerounaise Vision 4 avait même annoncé le décès du président Bongo, ce qui lui a valu des sanctions sévères.

Ce dimanche, le porte-parole de la présidence gabonaise est sorti de son silence, après avoir tenu un point presse il y a deux semaines.

« Aujourd’hui, le président de la République est dans une phase de recouvrement de la plénitude de ses facultés physiques », a déclaré Ike Ngouoni, reconnaissant ainsi de manière implicite la gravité de l’état de santé du chef de l’Etat gabonais.


Depuis l’hospitalisation du président Bongo, le 24 octobre dernier, son état de santé « s’est sensiblement amélioré », a-t-il indiqué en citant le dernier bulletin médical des médecins qui le soignent à l’hôpital de Riyad.

Selon ces derniers, toujours cités par le porte-parole, Bongo « amorce donc progressivement une phase de récupération physique très encourageante ».

Par ailleurs, l’AFP a indiqué mercredi que Bongo a eu un accident vasculaire cérébral (AVC), ce qui a nécessité son hospitalisation. L’agence de presse citait « une source étrangère proche du président ».

« Le pronostic vital n’est plus engagé, il n’est plus sous respiration artificielle » et se trouve toujours à Riyad, affirmait la même source.

Notons que le président gabonais est apparu aux abonnés absents lors de la cérémonie de commémoration du Centenaire de la première guerre mondiale, ce dimanche à Paris. Il a été représenté par son ministre des affaires étrangères, Régis Immongault.

S.L.

whatsapp Recevez les dernières actualités sur votre WhatsApp
Tempête inédite à Dubaï : des images impressionnantes à l’aéroport ce mardi (VIDEOS)













Rejoignez LeSiteinfo.com et recevez nos newsletters



Bouton retour en haut de la page