Economie

Le brutal retour de Karma

C’est le lot des petites marques automobiles. Une existence incertaine, sans cesse au bord du gouffre.

Fondé aux Etats-Unis, en 2008, par le designer danois Henrik Fisker, à qui l’on doit des véhicules iconiques comme l’Aston Martin V8 Vantage ou la BMW Z8 (sous la supervision de Chris Bangle), Fisker a été rebaptisé Karma en 2015 après une première série de déboires financiers ayant débouché sur un rachat, reprenant ainsi le nom de son premier modèle, une limousine sportive qui a la particularité d’être le premier véhicule hybride rechargeable au monde produit en (petite) série.

Depuis, sa remplaçante, la Karma Revero, et les concept-cars Pininfarina GT, SC1 Vision et SC2 Vision, ont prouvé que la marque n’avait rien perdu de son savoir-faire.

Preuve en est faite, à nouveau, avec la Karma Kaveya, qui vient d’être dévoilée, élégante «hyper GT» électrique de 4,77 m de long, dotée d’une énorme batterie de 120 kWh et de deux électromoteurs développant 1.180 ch. De quoi lui permettre de pulvériser le 0 à 100 km/h en 3 s, de revendiquer une Vmax de 290 km/h et d’afficher une autonomie de 400 km (cycle WLTP).


Mehdi Labboudi / Les Inspirations ÉCO

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