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Abdelhadi Belkhayat dément avoir été agressé dans une mosquée

Le quotidien Assabah, dans son édition de jeudi 5 octobre, rapporte à la Une le « carnage » qui aurait été causé par un individu connu pour être violent. Torse nu, gardant seulement son pantalon, il aurait osé interrompre la prière d’Al Asr, vociférant et s’en prenant aux fidèles avec des insultes.

Parmi les présents, il y avait le chanteur Abdelhadi Belkhayat qui aurait voulu s’interposer et calmer l’individu. Notre artiste aurait été, à son tour, victime de la rage de cet intrus. Il a finalement été maîtrisé et chassé de la mosquée, affirme Assabah.

Le quotidien va plus loin, en indiquant que l’agresseur a attendu dehors que Belkhayat sorte du lieu du culte pour l’empêcher de monter dans sa voiture. Il aurait fallu l’intervention d’amis du chanteur. L’homme aurait exigé de notre artiste… le prix du gardiennage de son véhicule!

Contacté par Le Site info, Abdelhadi Belkhayat a apporté un démenti catégorique et formel sur cette prétendue agression. Pour notre chanteur, il se s’agissait que de plaisanteries à caractère amical avec un homme qui souffre de troubles psychiques. Plaisanteries s’étant achevée par l’octroi d’une « baraka » de Belkhayat et de ses amis à cette personne malade. Alors qui croire? Abdelhadi Belkhayat préfère-t-il enterrer cette affaire, ce qui expliquerait son démenti?


Toujours est-il que d’après les sources du journal arabophone, le pseudo-agresseur n’en est pas à son premier méfait et a un casier judiciaire des plus chargés. « Ses propres parents ont dû quitter le douar pour échapper à sa violence récurrente. De même que son épouse, mère de ses deux filles, a aussi préféré aller vivre chez sa famille, pour des raisons similaires ».

Le frère de l’individu a déclaré à Assabah que la famille a tout fait pour que des soins lui soient prodigués . Ceci, en contactant les autorités locales afin que l’individu puisse être soigné  au service psychiatrique du CHU Ibn Roch de Casablanca.  Néanmoins, les responsables dudit service prétendent toujours qu’il n’y a pas de lit vacant. Des témoins racontent même que l’homme s’était introduit dans un mosquée réservée aux femmes, pendant un cours d’alphabétisation et a copieusement agressé verbalement les femmes présentes. Les habitants ne cessent d’alerter les autorités compétentes avant que le pire ne soit perpétré, tant la dangerosité de l’homme menace sérieusement grands et petits, note enfin le quotidien.

Larbi Alaoui

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