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La dernière blague de Loubna Abidar qui accuse (ironiquement) l’ânesse

Tout le monde se souvient de l’affaire de l’ânesse enragée, victime de zoophilie de la part de dix-sept ados, à Sidi Kamel, province de Sidi Kacem. Sur sa page officielle Facebook, en darija, bien sûr, elle accuse (ironiquement) l’animal de débauche et de dévergondage.

« Tout vient de l’ânesse. Si elle était respectable, si elle n’allait pas gambader dans des lieux déserts, seule, si elle était éduquée et sage, elle n’aurait pas attisé les convoitises sexuelle de ces pauvres » drari ( gosses), que Dieu les protège », écrit ironiquement Abidar.

Et l’actrice d’ajouter que si l’ânesse était restée « à la maison », à attendre « un âne, fils d’âne », cela ne lui serait pas arrivé. « Cette ânesse, fille d’ânesse, est sortie en décolleté (mzayra). Si ses ânes de parents lui avaient inculquée une éducation religieuse, elle aurait pu s’éviter une telle situation. », ajoute Abidar.

Conclusion: « D’ailleurs, elle ne mettait pas le hijab et ne cachait pas ses parties intimes ». Quand aux ados zoophiles, ces « drari », ils sont absous, pardonnés et acquittés par Abidar.


La prochaine publication abidarienne éclairera nos lanternes sur le message subliminal qu’elle a voulu passer.

L.A.

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