Culture

Atlas Electronic: un festival pas comme les autres à Marrakech (VIDEO)

En pleine Palmeraie de Marrakech, le public a répondu présent au festival Atlas Electronic cette semaine. La soirée d’ouverture a été marquée par un riche métissage de musique électronique contemporaine et d’influences arabes et berbères. Le tout mis en place dans un lieu féérique.

Avec des fusions qui invitent à la découverte et à l’échange, le show a démarré avec une performance inédite de Jauk Armal, avant d’enchaîner avec un cocktail musical interprété avec brio par les Houariyates, James Holden et Maâlem Houssam Gania et Tarwa N Tirini, mêlant compositions et musiques traditionnelles aux rythmes modernes et occidentaux.

Durant tout le spectacle, le public a été en interaction totale avec les artistes qui ont enchanté la foule avec des morceaux innovants et créatifs reflétant l’âme de ce rendez-vous incontournable de la musique électronique internationale.

Musique originale, danse, jeux de lumières, mise en scène captivante, Atlas Electronic a réuni tous les ingrédients d’une soirée réussie en plein air. Le producteur du Festival Atlas Electronic, Réda Kadmiri nous présente cet événement. Vidéo.


La grande surprise de cette édition a été la participation de la légende new-yorkaise, Joaquin « Joe » Claussell. Atlas Electronic est un festival dédié non seulement à la musique électro, mais aussi à la musique traditionnelle.

Initiée sous le signe « Moving Forward » (aller de l’avant), cette 4è édition qui dévoile un line-up inédit alliant musique, talks, débats, créations et workshops, a connu la participation de plus de 130 artistes représentant une quinzaine de pays, dont la moitié sont d’origine africaine.

Le festival vise à sensibiliser chaque année à la question de la mobilité interculturelle et souhaite mettre l’accent sur les inégalités quant à la liberté de mouvement et de déplacement, et leurs conséquences sur le paysage culturel mondial.

En plus du line-up musical, « Atlas Electronic » offre une belle plateforme aux autres formes d’art, tel que le projet « Afrorack » de l’Ougandais Bamanyan Brian ou encore « Guedra », projet féminin de dance traditionnelle.

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