Tourisme : le ministère dément les chiffres erronés relayés sur Marrakech

La préfecture de Marrakech compte 1.934 établissements d’hébergement touristique classés (EHTC), toutes catégories confondues, pour une capacité litière de 75.026 lits, selon le ministère du Tourisme, de l’Artisanat et de l’Économie sociale et solidaire.
« Contrairement à ce qui a été rapporté par certains médias et réseaux sociaux, le nombre réel d’établissements d’hébergement touristique classés dans la préfecture de Marrakech s’élève à 1.934 unités, toutes catégories confondues (hôtel, hôtel club, résidence hôtelière, résidence immobilière de promotion touristique, pension, motel, maison d’hôte, gîte, ferme d’hôte, auberge et camping), pour une capacité litière de 75.026 lits », indique le ministère dans une mise au point.
Entre 2021 et 2025, le secteur a en effet enregistré l’ouverture de 240 nouveaux établissements classés, toutes catégories confondues, représentant une capacité additionnelle de 5.619 lits, précise la même source.
Ces chiffres officiels, issus des bases de données du ministère et des commissions de classement régionales, confirment clairement la progression soutenue de l’offre d’hébergement dans la première destination touristique du Royaume.
Le ministère rappelle aussi que les chiffres avancés par la ministre du Tourisme, de l’Artisanat et de l’Économie sociale et solidaire, Fatim-Zahra Ammor, se basent sur des données consolidées, vérifiées et régulièrement mises à jour.
Les interprétations erronées ou volontairement déformées ne reflètent en rien la réalité du secteur, et contribuent à donner une image négative injustifiée de l’effort collectif mené à Marrakech.
Au-delà des chiffres, cette dynamique illustre la confiance des investisseurs, nationaux et internationaux, dans l’attractivité de Marrakech et plus largement du Maroc.
« Marrakech demeure ainsi un moteur incontestable du tourisme national, et l’ouverture continue de nouveaux établissements confirme la vitalité du secteur, malgré les tentatives répétées de certains acteurs de détourner le débat », conclut le ministère.