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DGAPR: des lettres de Bouachrine confisquées

Nouvelle mise au point de la DGAPR dans l’affaire Bouachrine. En effet, la direction des prisons a affirmé, ce mercredi, que le journaliste, incarcéré depuis le 23 février dernier pour des affaires de viol et d’agressions sexuelles sur plusieurs femmes, « jouit de tous ses droits, dont celui d’adresser ou de recevoir des lettres, dans le cadre du respect des conditions légales en vigueur ».

La DGAPR réagit ainsi aux informations relayées par des médias électroniques concernant une plainte de Bouachrine relative à ses correspondances avec les membres de sa famille.

Citant l’administration de la prison locale Ain Borja, elle souligne dans un communiqué que cet établissement pénitentiaire a reçu dix lettres adressées au directeur d’Akhbar Al Yaoum par sa famille, et qui ont été remises à l’intéressé après les mesures de contrôle prévues par la loi.

L’établissement a, également, reçu de la part de Bouachrine neuf lettres qu’il voulait adresser à son épouse et une autre destinée à sa sœur, précise la même source, relevant que « deux lettres ont été transmises à l’épouse, n’étant entachées d’aucun empêchement, alors que les autres ont été retenues pour leur contenu ne respectant pas les dispositions réglementaires en vigueur ».

Et d’ajouter que Bouachrine « communique avec ses proches chaque semaine à travers la visite familiale et les appels téléphoniques ».

Pour rappel, Taoufik Bouachrine est poursuivi pour plusieurs graves chefs d’accusation, dont: traite d’êtres humains, abus de faiblesse, viol ou encore harcèlement sexuel. Les actes qui lui sont reprochés auraient été commis à l’encontre de plusieurs plaignantes.

Soufiane Laraki


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