Politique

Et si le PJD échouait à former le gouvernement? Mohamed Tozy répond

Le Maroc a choisi de respecter les normes démocratiques en matière de désignation du chef du gouvernement. La constitution stipule que le Roi désigne le chef du gouvernement du parti qui est arrivé premier à l’issue des élections.

Comme cela s’est fait en 2011 lorsque le Roi a investi Benkirane à Midelt, cette fois-ci c’est encore le PJD qui sera tenu de former le prochain gouvernement. Or, bon nombre d’observateurs avançaient que ce ne sera pas forcément Abdelilah Benkirane, puisque la constitution était restée muette au sujet de l’obligation de désignation du secrétaire général.

Ce sujet a alimenté les débats. Mais, en attendant, c’est un autre sujet qui a surgi et qui fait monter les enchères. En effet, les spéculations vont bon train dans les médias, dans les cercles politiques et même dans les milieux académiques. Il s’agit de la situation où le PJD serait incapable de former le gouvernement. Plusieurs analystes et politologues penchent vers la solution d’une seconde consultation électorale, même si son coût est élevé. Cependant, une voix discordante sort du lot. C’est celle du politologue Mohamed Tozy, qui a écarté, dans une déclaration à Telquel, l’organisation d’une deuxième opération électorale et lui a préféré la thèse de l’investiture du parti qui vient en deuxième position, c’est à dire le PAM.

T.J.


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