Chroniques

Kobe, repose en paix

Le basket a perdu l’une de ses plus grandes légendes. La mort de Kobe Bryant, victime d’un crash d’hélicoptère, a retenti comme une tragédie aux quatre coins du globe.

Du haut de ses 41 ans, dont plus de la moitié passée à faire des paniers, cette star américaine de la NBA était forcément connue dans le monde entier. Encore plus aujourd’hui, car même ceux qui ne se sont jamais intéressés au basket de leur vie, le connaissent et lui rendent un vibrant hommage comme on peut le voir actuellement sur les réseaux sociaux.

Cette disparition n’est pas sans rappeler celle d’un certain Emiliano Sala, footballeur argentin décédé en janvier 2019, lui aussi dans un crash d’avion. Tous les deux sont morts en tombant du ciel à un moment où personne ne s’y attendait. Preuve que la vie réserve des surprises, parfois mauvaises. Des personnes frôlent la mort et s’en sortent par miracle. D’autres, comme Kobe, n’ont pas eu cette chance.

Au Maroc comme ailleurs dans le monde, des gens meurent tous les jours que Dieu fait, dans l’anonymat, mais souvent accidentellement. En effet, qui n’a jamais entendu dire qu’un jeune était mort en moto ou en voiture ? Or, chez nous, ce type de drames est non seulement courant, mais il est souvent provoqué par l’inconscience et le manque de civisme. Certes, la mort est une fatalité, mais certains comportements nous y conduisent plus vite et plus tôt que prévu. Jusqu’à quand verra-t-on des voitures rouler à plus de 150 km/h sur l’autoroute? Jusqu’à quand verra-t-on des bolides zigzaguer sur le périph ? Jusqu’à quand les feux rouges seront grillés en l’absence d’agent de police ? Enfin, jusqu’à quand verra-t-on des crevasses sur l’asphalte ? Voilà autant de maux auxquels il n’est pas impossible de remédier afin d’éviter les mauvaises surprises du destin. Y compris les plus funestes


H.B.

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