Les accidents de la route représentent un coût important pour la société marocaine. En 2017, la facture de l’hécatombe routière était de l’ordre de 2 milliards d’euros, selon les données de la Banque mondiale.
D’après les estimations de la même institution, les pertes liées aux accidents de la circulation représentent près de 2% du PIB marocain.
Dans ce cadre, on ne le dira jamais assez: le comportement des usagers de la route est un facteur déterminant de la performance d’un pays en matière de sécurité routière.
Au Maroc, plusieurs mesures visant à améliorer la gestion de la sécurité routière ont été mises en place, dont la création de l’Agence nationale de la sécurité routière, qui vient d’être opérationnelle. Elle a pour mission la coordination, la mise en œuvre et la gestion de toutes les actions liées à la sécurité routière : pilotage de la Stratégie nationale de sécurité routière, émission de cartes d’immatriculation de motocyclettes et de véhicules à moteur, examens du permis de conduire, système de points d’inaptitude la gestion, inspections techniques et de tous les véhicules à moteur, délivrance d’autorisations aux auto-écoles et leurs instructeurs, campagnes de communication, etc.
En somme, une nouvelle ère s’ouvre à la gestion de la sécurité routière au Maroc, mais la sensibilisation et la prévention seront toujours de mise !
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