L’idée et l’orientation de la direction du PJD de tenir un congrès extraordinaire en vue de proroger le mandat pour un an, voire un autre bail de son Secrétaire général à la tête du parti, n’ont pas été appréciées, surtout chez une partie de cette formation islamiste.
Les réseaux sociaux se sont enflammés pour exprimer leur mécontentement de voir le PJD frappé par la maladie du « Zaïm » et du culte de la personnalité, en cherchant à tout prix à reconduire Benkirane avec une prolongation d’un an. D’autant plus qu’il aspire à être à la tête du prochain gouvernement sans attendre le verdict des urnes des élections législatives du 7 octobre prochain, souligne le quotidien Akhbar Al Yaoum.
La maladie du Zaïm a fait couler plus d’un parti. Certains membres du PJD ont tout simplement peur de voir le parti « violer ses propres statuts internes sans respect pour le principe de l’alternance ».
Les partisans du chef Benkirane appliquent le principe sportif, à savoir qu’on ne change pas une équipe qui gagne. Akhbar Al Yaoum titre pour sa part: « on ne change pas un cavalier gagnant ».
La maladie du Zaïm a fait couler plus d’un parti. Certains membres du PJD ont tout simplement peur de voir le parti « violer ses propres statuts internes sans respect pour le principe de l’alternance ».
Les partisans du chef Benkirane appliquent le principe sportif, à savoir qu’on ne change pas une équipe qui gagne. Akhbar Al Yaoum titre pour sa part: « on ne change pas un cavalier gagnant ».