La gendarmerie royale de Settat a reçu lundi 14 mars 2016 des instructions émanant du procureur du roi pour ouvrir une enquête sur une opération d’évasion collective planifiée en fin de la semaine dernière par 3 prisonniers qui croupissent à la prison d’Ain Ali Moumen.
Selon Al Akhbar en date du mercredi 16 mars 2016, des éléments de la gendarmerie se sont rendus au pénitencier pour l’ouverture de la procédure d’enquête et l’interrogatoire des trois mis en cause.
Le quotidien précise que cette affaire a éclaté le week-end dernier lorsque les trois prisonniers qui sont condamnés dans diverses affaires ont mis au point leur plan d’évasion.
Le quotidien précise que cette affaire a éclaté le week-end dernier lorsque les trois prisonniers qui sont condamnés dans diverses affaires ont mis au point leur plan d’évasion.
Leur scénario devait se dérouler la manière suivante: ils avaient planifié d’agresser un des gardiens et de faire main basse sur les clefs des portes séparant les cellules pour s’enfuir.
Ils sont donc passés à l’exécution de leur plan en appelant un des gardiens et en lui faisant croire que l’un des prisonniers souffrait dans une cellule. L’idée était de neutraliser et d’agresser le gardien une fois à l’intérieur de la cellule.
Grâce au flair et à la vigilance du gardien, leur plan est tombé à l’eau. Le gardien a eu le pressentiment que quelque chose de louche se tramait à l’intérieur de la cellule qui abritait les trois énergumènes et a hésité à leur ouvrir la porte. Il a finalement alerté ses collègues qui sont venus à la rescousse. Après un interrogatoire, l’un d’eux a reconnu que ces deux codétenus avaient mis au point un plan d’évasion collective… finalement avorté à la dernière minute.
Ils sont donc passés à l’exécution de leur plan en appelant un des gardiens et en lui faisant croire que l’un des prisonniers souffrait dans une cellule. L’idée était de neutraliser et d’agresser le gardien une fois à l’intérieur de la cellule.
Grâce au flair et à la vigilance du gardien, leur plan est tombé à l’eau. Le gardien a eu le pressentiment que quelque chose de louche se tramait à l’intérieur de la cellule qui abritait les trois énergumènes et a hésité à leur ouvrir la porte. Il a finalement alerté ses collègues qui sont venus à la rescousse. Après un interrogatoire, l’un d’eux a reconnu que ces deux codétenus avaient mis au point un plan d’évasion collective… finalement avorté à la dernière minute.