Le nouveau patron de la CGEM vient de donner son avis sur la campagne de boycott. Dans un entretien accordé au journal Al Ahdath Al Maghribia, Salaheddine Mezouar a affirmé que le Maroc a besoin d’une « secousse politique » afin de contenir les répercussions du boycott.
« Le gouvernement est responsable aux côtés du Parlement pour prendre l’initiative et proposer des solutions qui permettront de faire face au boycott », a-t-il déclaré.
Et d’ajouter que cette situation engendre un climat général d’attentisme, d’où la nécessité d’une « secousse politique » pour sortir de cette impasse.
Y.B.