« Mercredi 10 mai, M. Chebihi et son épouse, se sont arrêtés pour que Mme Chebihi ait accès aux toilettes privées réservées aux clients du restaurant. Ayant remarqué cela, l’agent de sécurité s’est adressé courtoisement à Monsieur Chebihi qui attendait le retour de son épouse pour lui rappeler le règlement interne du restaurant. Ce dernier s’est senti offensé par cette approche et a déclenché un scandale injustifié qu’il a souhaité consigné par un enregistrement de l’agent de sécurité, de membres de l’équipes et même de clients présents », affirme la direction. « Compte tenu de l’illégalité de cet enregistrement vidéo, l’agent de sécurité a demandé à Monsieur Chebihi de supprimer la vidéo, mais ce dernier a refusé. C’est seulement après ce refus que la demande d’intervention des agents de police par le Directeur du restaurant est devenue nécessaire », ajoute le communiqué.
Et de poursuivre: « Nous informons notre aimable clientèle que suite à ces faits et pour protéger le caractère privé de la présence de nos clients dans le restaurant, une plainte a donc été déposée auprès du procureur du Roi du tribunal de première instance.
Nous rappelons que pour des raisons de sécurité, tous nos restaurants sont équipés de caméras couvrant les différents angles des locaux. Les séquences vidéos et images prises lors de l’incident démontrent de manière irréfutable l’inexactitude des propos de M. Chebihi et sont mises à la disposition des autorités compétentes qui instruisent la plainte. Elle montre clairement Mme Chebihi attendant son époux à l’extérieur du restaurant ou encore tenant une bouteille d’eau qui lui a été offerte par le personnel.
Soucieux de protéger le caractère personnel des séquences vidéo et images…nous ne pouvons rendre publics ces éléments à travers les réseaux sociaux. La diffusion sur les réseaux sociaux de M. Chebihi donne à Quick Maroc tous les droits de défendre ses intérêts », conclut le communiqué.
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