À Casablanca, la “guerre des trottoirs” est (vraiment) déclarée
Une énième (et sûrement pas la dernière!) campagne de lutte contre l'occupation illégale de l'espace public, à Casablanca, est menée tambour battant
Le crime de Bir Jdid connait de nouveaux rebondissements. L’épouse, suspectée du meurtre de son mari avec l’aide de son amant en janvier dernier, a comparu devant le juge d’instruction mardi 20 février.
Lors de son audience devant le juge, l’amant a confirmé sa liaison avec l’épouse et a déclaré être le père de l’enfant de la victime. Ces déclarations ont conduit le juge à imposer un test ADN pour lever le doute sur ces liens de parenté.
Rappelons que cette affaire a éclaté en janvier dernier. Un homme s’est infiltré dans la maison d’un couple, parents d’un enfant âgé d’un an, et a tué l’époux à l’arme blanche. Et il s’est avéré que l’épouse de la victime était complice avec le tueur, qui n’est autre que son amant.
Sofia Elhaddady
Une énième (et sûrement pas la dernière!) campagne de lutte contre l'occupation illégale de l'espace public, à Casablanca, est menée tambour battant
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